08/01/2017

Début 2017

Je porte beaucoup d'espoirs en l'année qui commence,




mais à cause du froid, je ne sors plus tellement de l'appartement.
                                                                           Je suis toujours en arrêt maladie.

Depuis le burn-out de fin août 2015,  je ne peux plus adhérer du tout aux valeurs de Rolls Royce Civil Nuclear, société dans laquelle je travaille pourtant depuis juillet 1988 (29 ans pendant lesquelles je me suis accroché aux branches avec souvent beaucoup de souffrances et de questionnements).
Mon accès délirant, début 1990, à la centrale de Saint-Laurent-Des-Eaux était, je pense, une première décompensation liée au travail dans ce contexte de déplacements extrêmement stressants et épuisants dans les réacteurs nucléaires.


L'isolement, en ce début d'année 2017, m'amène encore plus de questionnements sur mon job et mon attachement au monstrueux lobby atomique

                                La reprise imminente  du boulot me déglingue encore plus.