« Pour être heureux, il faut éliminer deux choses : la peur d'un mal futur et le souvenir d'un mal passé ». - Sénèque
19/12/2014
Schizophrénie & nucléaire
14/12/2014
Guéri parce que différent !
Un peu par hasard (si le hasard existe), je viens de de tomber sur une émission de France-Inter : La partie qui nous intéressera est la seconde sur les trois (à partir de 19 minutes 20 du début). On y entends exactement ce que je pense de ma santé. (Je ne parlerai plus jamais de maladie). De la Fondation Fondamental (sponsorisée par Rothschild et les capitaines du capitalisme) à ceux du Collectif des 39, il y a peut-être, là, l'une des plus belles phrases qu'il ne m'est jamais été donnée d'entendre :
23/10/2014
Merci Yann Doornbos !
04/05/2014
« Au fond, je suis nul ! »
Les enfants qui ont une bonne image d’eux-mêmes sont des enfants qui sont regardés pour ce qu’ils sont et non pas pour ce que l’on voudrait qu’ils soient. Pas si facile ! Surtout à une époque où le culte de la performance est si fort.
09/04/2014
Réduction du traitement et prise de conscience
13/01/2014
L’égocentrisme sous l'éclairage bouddhiste
Enseignements oraux donnés à Schvenedingen en Allemagne, 1998.
FOURTEENTH DALAI LAMA, TENZIN GYATSO (b. 1936)
02/01/2014
2014
2014 marque pour moi, un premier arrêt des neuroleptiques. le Docteur Philippe SECHIER est là pour m'aider au sevrage.
Il y a 29 ans, les psychiatres m'ont hâtivement étiqueté Schizophrène.. J'ai vécu avec cette stigmatisation si longtemps que j'ai l'impression d'avoir toujours été un malade mental, dêtre un malade mentale.
Quand je dresse un bilan de ma vie, je m’aperçois que je l'ai mener de main de maître et que les seuls cotés obscures de mon existence sont justement liés à ce diagnostique sans appel.
Que je sois schizophrène ou pas, finalement : quelle importance ?
Cette vie, c'est la mienne. Et je n'ai finalement que trop laissé des tiers décider ce qui était bon ou pas pour moi. C'est dans la peur de la "rechute" que ma vie a été organisée.
Mon expérience mentale est celle de la crainte, celle de l'hypothèse défavorable. Et ça, c'est assez stupide. Je ne veux plus vivre dans la crainte d'une rechute, parce que justement, j'ai encore plein de choses à faire (avec les enfants et Judith notamment).
Les "gardes fous" que sont les médicaments et la psychiatrie (par définition) sont devenus avec le travail dans le nucléaire la plus contraignante des prisons.
Cette année, je fais péter les barreaux.
Je m'évade de ce carcan, les chaines sont trop lourdes.